Deux mois de silence radio toutes compétitions confondues, dix matchs sans faire trembler les filets de Ligue 1, et puis bang : le champion du monde rappelle aux amnésiques pourquoi il a marqué 57 buts en Bleu. Bruno Genesio n'a pas résisté à envoyer une petite pique bien sentie à tous ceux qui avaient déjà rangé Olivier Giroud au rayon des légendes retraitées.
Dimanche soir à Pierre-Mauroy, c'était grande soirée rédemption. Olivier Giroud, 39 piges au compteur, a claqué un doublé face au Paris FC (4-2). Une frappe croisée du gauche à la 40e pour égaliser, puis un penalty glacial à la 77e pour donner l'avantage. Depuis son but contre Brann le 25 septembre, plus rien. Le néant. Les langues se déliaient, les tribunes s'impatientaient.
L'ancien d'Arsenal avait même commis une erreur grossière à Strasbourg qui avait offert le deuxième but alsacien. Les critiques pleuvaient. Walid Acherchour sur RMC évoquait carrément « un problème Giroud ». Certains réclamaient la titularisation d'Igamane. D'autres parlaient de déclin physique.
Genesio ? Lui n'a jamais lâché son buteur. Jamais. Et dimanche soir, au micro de Ligue 1+, le coach lillois a savouré en lâchant une vérité qui pique : « Forcément, c'est la rançon de la gloire. On parlait beaucoup du fait qu'il ne marquait pas ». Traduction : les bavards peuvent retourner dans leurs tanières.
« Il n'a pas lâché. Il s'est entraîné vraiment, je l'ai souligné, comme un grand professionnel », a martelé Genesio après la victoire. Plus fort encore, l'entraîneur nordiste a révélé que même lorsqu'on proposait à Giroud de lever le pied à l'entraînement pour se préserver, le champion du monde 2018 refusait : « Il a toujours été au bout de lui-même ».
Le discours de Genesio résonne comme un uppercut aux détracteurs. « Je suis heureux parce que, pour moi, c'est un exemple. On a la chance d'avoir un joueur comme ça dans notre effectif. Il faut que les plus jeunes joueurs en profitent parce que ça va leur faire gagner quelques années d'expérience durant cette saison », a-t-il insisté.
Giroud lui-même a reconnu que « les cages se faisaient un peu plus petites ces derniers temps ». Mais la trêve internationale lui a permis de recharger les batteries. « Les trêves internationales me font beaucoup de bien pour me régénérer », a-t-il confié.
Le message de Genesio est limpide : l'expérience et le mental d'acier finissent toujours par payer. Les Dogues grimpent à la 4e place de Ligue 1 grâce à ce succès. Et Giroud, lui, vient de rappeler qu'on n'enterre pas un attaquant de sa trempe après quelques semaines de vaches maigres.
Dimanche soir à Pierre-Mauroy, c'était grande soirée rédemption. Olivier Giroud, 39 piges au compteur, a claqué un doublé face au Paris FC (4-2). Une frappe croisée du gauche à la 40e pour égaliser, puis un penalty glacial à la 77e pour donner l'avantage. Depuis son but contre Brann le 25 septembre, plus rien. Le néant. Les langues se déliaient, les tribunes s'impatientaient.
L'ancien d'Arsenal avait même commis une erreur grossière à Strasbourg qui avait offert le deuxième but alsacien. Les critiques pleuvaient. Walid Acherchour sur RMC évoquait carrément « un problème Giroud ». Certains réclamaient la titularisation d'Igamane. D'autres parlaient de déclin physique.
Genesio ? Lui n'a jamais lâché son buteur. Jamais. Et dimanche soir, au micro de Ligue 1+, le coach lillois a savouré en lâchant une vérité qui pique : « Forcément, c'est la rançon de la gloire. On parlait beaucoup du fait qu'il ne marquait pas ». Traduction : les bavards peuvent retourner dans leurs tanières.
« Il n'a pas lâché. Il s'est entraîné vraiment, je l'ai souligné, comme un grand professionnel », a martelé Genesio après la victoire. Plus fort encore, l'entraîneur nordiste a révélé que même lorsqu'on proposait à Giroud de lever le pied à l'entraînement pour se préserver, le champion du monde 2018 refusait : « Il a toujours été au bout de lui-même ».
Le discours de Genesio résonne comme un uppercut aux détracteurs. « Je suis heureux parce que, pour moi, c'est un exemple. On a la chance d'avoir un joueur comme ça dans notre effectif. Il faut que les plus jeunes joueurs en profitent parce que ça va leur faire gagner quelques années d'expérience durant cette saison », a-t-il insisté.
Giroud lui-même a reconnu que « les cages se faisaient un peu plus petites ces derniers temps ». Mais la trêve internationale lui a permis de recharger les batteries. « Les trêves internationales me font beaucoup de bien pour me régénérer », a-t-il confié.
Le message de Genesio est limpide : l'expérience et le mental d'acier finissent toujours par payer. Les Dogues grimpent à la 4e place de Ligue 1 grâce à ce succès. Et Giroud, lui, vient de rappeler qu'on n'enterre pas un attaquant de sa trempe après quelques semaines de vaches maigres.
Accueil
Envoyer
Imprimer
Agrandir
Partager
